Ikosim Tech Hub : Cowoking à Alger, domiciliation d'entreprises salles de formation et salles de réunion

Comment importer en Algérie ?

Un entrepreneur algérien assis à un bureau dans un espace de coworking, avec deux cartons étiquetés « local » et « import » devant lui. Un ordinateur est ouvert sur une page de fournisseur. Le drapeau de l’Algérie est visible en arrière-plan, symbolisant le contexte local du choix commercial.

Importer en Algérie est un sujet stratégique pour de nombreux entrepreneurs. Que ce soit pour de la matière première, de l’équipement ou du matériel informatique, les procédures d’importation doivent être bien comprises pour optimiser ses coûts et sa logistique.

Beaucoup d’idées reçues circulent autour de l’importation : complexité des démarches, restrictions, monopoles. Pourtant, avec une bonne compréhension du cadre légal et une stratégie claire, importer devient un levier de développement et de compétitivité.

Dans cet article, nous allons tenter de clarifier les démarches d’importation, distinguer les cas autorisés, les logiques de revente en l’état, et mettre en lumière les bonnes pratiques pour choisir entre achat local et importation directe.

Acheter localement ou importer : un choix stratégique

Quand on entreprend en Algérie, on a besoin soit de matériel, soit de matières premières, en fonction qu’on exerce dans le service, la production, ou les deux.

Et très vite, se pose la question suivante : faut-il privilégier l’achat local ou importer directement ?

Ce choix peut parfois s’imposer à nous en raison de la disponibilité ou non de certaines ressources sur le marché local.

« En Algérie, les restrictions à l’importation ont visé la revente en l’état pour protéger les réserves de change. Mais elles n’ont jamais concerné les besoins réels des opérateurs économiques. »

Il est donc important de distinguer les deux logiques :

  • La revente en l’état : interdite sans agrément, elle consiste à acheter un produit à l’étranger pour le revendre tel quel sur le marché local. Ce type d’activité est strictement encadré.
  • L’importation pour usage professionnel : autorisée si elle est justifiée par une activité déclarée. Une entreprise peut importer directement ce dont elle a besoin pour produire ou fonctionner.

« Les restrictions ne doivent pas être vues comme un frein, mais comme un filtre logique pour protéger l’économie réelle tout en laissant les opérateurs travailler. »

Parfois, acheter localement permet de soulager sa trésorerie et d’éviter les procédures douanières et bancaires, même si le coût peut être plus élevé qu’en important soi-même.

« Acheter localement, c’est souvent gagner du temps. Importer, c’est souvent gagner de l’argent. Il faut donc arbitrer en fonction de ses priorités. »

Dans les faits, le bon choix est souvent un équilibre entre les deux : importer ce qui est stratégique, acheter localement ce qui est disponible, surtout lorsqu’on débute ou lorsqu’il faut agir vite.

Les différentes catégories d’importation

En Algérie, toutes les importations ne se valent pas. Il est essentiel de distinguer deux grandes catégories : l’importation pour la revente en l’état et l’importation pour le fonctionnement ou l’investissement.

L’importation pour la revente en l’état, autrement dit le commerce, est aujourd’hui strictement encadrée.

Pour exercer légalement cette activité, il faut passer par des procédures spécifiques, notamment l’obtention d’un quota auprès d’Algex, l’Agence nationale de promotion du commerce extérieur. Ces quotas sont accordés selon des critères précis, notamment en lien avec les besoins nationaux et les politiques de réduction des importations.

“La revente en l’état, c’est tout simplement du commerce. Et à la date de l’écriture de cet article, cela nécessite une autorisation d’importation via Algex.”

Cette réglementation vise à préserver les réserves de change et à encourager la production locale. L’État souhaite que les opérateurs qui croient en un produit envisagent de le produire localement, plutôt que de dépendre à long terme d’une chaîne d’importation.

La seconde catégorie est l’importation pour le fonctionnement ou l’investissement.

Dans ce cas, aucune autorisation préalable n’est requise. L’entreprise peut importer du matériel, des matières premières, des consommables ou des équipements nécessaires à son activité, à condition que cela soit en lien avec son objet social.

“Importer pour fonctionner, ce n’est pas une faveur. C’est un droit de tout opérateur économique en Algérie, à condition de respecter les règles du jeu.”

La procédure est simple : il suffit de déposer une facture proforma auprès du service commerce extérieur de sa banque. Ensuite, accompagné d’un transitaire, l’entreprise accomplit les formalités douanières classiques : paiement des droits, dédouanement, transport local, etc.

Les droits de douane et la TVA varient selon les produits et les pays d’origine. Certaines zones comme l’Union Européenne ou les pays arabes bénéficient de régimes préférentiels ou d’exonérations partielles.

“L’importation pour l’investissement ou le fonctionnement reste la voie la plus simple et la plus directe pour équiper son entreprise ou approvisionner sa production.”

Il est donc essentiel, avant toute opération d’importation, de déterminer dans quelle catégorie se situe le besoin identifié. C’est ce qui permettra de préparer les démarches et d’optimiser le processus sur les plans administratif, fiscal et logistique.

Choisir le bon code d’activité pour importer

Lorsque vous créez une entreprise en Algérie, vous devez définir les activités que vous exercerez officiellement. Ces activités sont codifiées dans le registre de commerce (RC), et non dans le NIF comme on le croit souvent à tort.

Pour importer légalement, votre entreprise doit disposer du ou des codes d’activité correspondants à l’objet de votre importation. Que ce soit pour un équipement, une matière première ou même une pièce détachée, tout doit être justifié par votre registre de commerce.

« Ce n’est pas au moment d’importer qu’il faut se poser la question. Il faut prévoir les bons codes dès la création de l’entreprise. »

Les activités d’importation pour la revente en l’état, par exemple, nécessitent des codes bien spécifiques. Leur obtention est parfois soumise à des conditions particulières, mises en place pour éviter que n’importe qui ne fasse du commerce sans cadre clair, sans stockage adapté ou sans garantie pour le consommateur.

Ces codes sont consultables directement sur le site du CNRC grâce à un moteur de recherche performant par mots-clés. N’hésitez pas à l’utiliser pour anticiper vos besoins.

« Il vaut mieux être large que bloqué : n’hésitez pas à ajouter des codes proches de votre cœur d’activité, ou à créer un registre annexe si nécessaire. »

Concernant les entreprises de production, elles ont la possibilité d’importer les équipements et matières premières liés à leur activité uniquement. Là encore, tout doit être cohérent avec les codes déclarés.

Même certaines entreprises de service peuvent importer sous conditions, à condition d’avoir choisi les bons libellés dès le départ. Cela implique aussi que votre bail de location soit conforme à l’activité annoncée.

« Il n’y a pas mieux qu’un retour d’expérience de confrère : rapprochez-vous de ceux qui ont déjà fait l’opération. »

Enfin, sachez qu’il est possible de modifier ou ajouter des codes d’activité ultérieurement, mais cela nécessite des démarches administratives et peut retarder votre opération. L’anticipation est donc la clé.

La procédure bancaire et la domiciliation d’une importation

En Algérie, toute importation passe par votre banque, plus précisément par le service commerce extérieur de votre agence.

La première étape consiste à créer un compte dédié pour effectuer les pré-domiciliations. Selon le mode de règlement (lettre de crédit, remise documentaire ou transfert libre), une ligne d’importation

« Une ligne margée à 100 % ne déclenche pas de financement, mais permet de suivre et d’autoriser vos opérations d’importation. »

Vous devez ensuite vous inscrire sur la plateforme de pré-domiciliation. Cette étape consiste à soumettre une proforma de votre fournisseur étranger à la banque, qui vérifiera sa conformité.

La proforma doit indiquer clairement le code douanier, l’origine des marchandises, le mode de paiement et être en cohérence avec votre activité déclarée. En cas d’erreur ou d’incohérence, elle sera rejetée pour correction.

« Si la proforma est conforme, la validation est généralement rapide et systématique. »

Une fois la marchandise expédiée, le dossier d’importation complet est transmis par le fournisseur. Selon le mode de paiement choisi, ces documents sont réceptionnés de différentes manières :

  • Par la banque dans le cas d’une lettre de crédit (via un service spécialisé, hors agence principale)
  • Par votre agence en cas de remise documentaire
  • Par vous-même dans le cas d’un transfert libre, sous conditions spécifiques

Ce dossier comprend les factures définitives, le document de transport (connaissement ou lettre de transport aérien), le packing list, les certificats d’origine, de conformité ou sanitaires selon les cas, ainsi que tout autre document exigé par la douane.

« Une fois réceptionné, ce dossier passe obligatoirement par le service commerce extérieur de votre agence. »

La banque procède à la domiciliation des factures, enregistre et vérifie le dossier. Ce n’est qu’après cette étape que le dossier est remis à votre transitaire pour accomplir les démarches douanières.

« Le transitaire n’a pas besoin de la proforma, mais du dossier d’importation complet, validé par votre banque. »

Cette procédure peut sembler complexe la première fois, mais elle est bien encadrée, informatisée et accessible à tout opérateur économique ayant anticipé correctement ses obligations.

Les documents nécessaires pour importer en Algérie

Avant toute chose, l’importation en Algérie nécessite d’être immatriculé comme opérateur économique, avec un registre de commerce à jour et comportant les bons codes d’activité.

« Le choix du code d’activité est stratégique : il doit correspondre exactement à la nature de l’importation prévue. »

Pour les activités de revente en l’état, des autorisations préalables sont exigées, notamment une validation de votre programme d’importation par Algex (et potentiellement d’autres institutions selon la nature des produits).

Il faut également être à jour sur le plan fiscal, car certaines démarches bancaires ou douanières peuvent être bloquées en cas de situation irrégulière.

En tant qu’opérateur économique, vous devez aussi disposer de vos identifiants de base :

  • Registre de commerce (RC)
  • Numéro d’Identification Fiscale (NIF)
  • Numéro d’Identification Statistique (NIS)
  • RIB et compte bancaire fonctionnel

Une fois ces éléments validés, place aux documents liés à la marchandise à importer. Dans la majorité des cas, il vous faudra :

  • Une facture définitive en plusieurs exemplaires
  • Un packing list : liste descriptive de la marchandise expédiée
  • Un document de transport (Bill of Lading pour le maritime, Airway Bill pour l’aérien, etc.)
  • Un certificat d’origine (ex : EUR1 ou UA pour les produits européens)
  • Un certificat de conformité si exigé selon le type de produit

« Ces documents permettent à la douane d’identifier l’origine, la nature, la quantité et la conformité des produits importés. »

La procédure s’est assouplie ces dernières années. Certaines obligations ont été supprimées, comme l’obligation de justifier que le produit est aussi commercialisé dans son pays d’origine, ou de demander des franchises spécifiques pour des exonérations.

Pour la revente en l’état, des règles spécifiques d’étiquetage peuvent s’appliquer.

Pour les importations à usage de fonctionnement ou d’investissement, il faudra fournir un engagement de non-revente en l’état. Cela signifie que le produit doit être utilisé uniquement dans le cadre de votre activité déclarée.

« L’engagement de non-revente est une garantie que vous n’utiliserez pas la voie “fonctionnement” pour contourner les restrictions sur la revente en l’état. »

Chaque cas étant spécifique, il est recommandé de se rapprocher d’un transitaire expérimenté, d’échanger avec d’autres opérateurs, et de consulter régulièrement les mises à jour réglementaires.

Le rôle du transitaire et de la douane

Le transitaire joue un rôle central dans le processus d’importation, mais il ne gère pas l’ensemble de la chaîne.

« Ce n’est pas le transitaire qui va contacter le fournisseur ou réaliser les démarches bancaires : c’est à vous de le faire. »

Vous devez vous-même, ou via un collaborateur compétent, gérer la relation avec le fournisseur, la proforma, la domiciliation bancaire, et le suivi des documents d’expédition.

Ces tâches exigent des compétences précises : maîtrise des incoterms, compréhension des modes de paiement internationaux, lecture des factures commerciales, etc.

Une fois que la marchandise est arrivée au port ou à l’aéroport, c’est là que le transitaire entre en jeu. Son rôle commence réellement à partir du moment où vous lui transmettez le dossier bancaire validé.

Il va alors engager les formalités de dédouanement auprès des services douaniers, en votre nom.

« Le transitaire, c’est votre relais sur le terrain face à l’administration douanière. »

Le rôle de la douane, quant à lui, est de vérifier que les documents fournis sont conformes, que les marchandises correspondent à ce qui est déclaré, et que la réglementation applicable est respectée.

Elle peut demander des précisions, des documents complémentaires, voire une expertise technique dans certains cas.

« Le douanier n’est pas expert de tous les produits. À vous de lui fournir les bons éléments pour éviter les blocages. »

Votre transitaire peut vous accompagner en amont pour anticiper les points de blocage, mais il ne peut remplacer votre compréhension globale du processus.

Une fois les formalités accomplies, le transitaire peut également organiser la livraison de votre marchandise jusqu’à votre local, si cela est prévu dans votre accord.

« L’importation, c’est une chaîne : le transitaire n’est qu’un maillon. C’est à l’opérateur économique d’en garder la maîtrise. »

Conseils pratiques et erreurs à éviter

L’importation en Algérie n’est pas une science exacte. Chaque secteur, chaque opérateur, chaque opération a ses propres contraintes. Pourtant, certains conseils reviennent systématiquement.

« N’hésitez pas à tester plusieurs transitaires : tous ne se valent pas, et certains sont plus familiers avec votre secteur que d’autres. »

Il est recommandé de choisir un transitaire dont la structure est proche de la vôtre. Un transitaire trop grand pourrait ne pas accorder la même priorité à votre dossier que celui d’un client plus important.

« La taille de votre transitaire doit correspondre à celle de votre entreprise pour garantir un accompagnement personnalisé. »

Il faut également anticiper. Préparer tous les documents nécessaires dès l’émission de la commande : proforma, documents de transport, certificats, etc.

Lors du choix du mode de transport, privilégiez toujours le plus long trajet si cela permet de synchroniser l’arrivée de la marchandise avec la réception des documents.

« Recevoir les documents après la marchandise peut coûter cher : frais de surestarie, pénalités douanières, blocage logistique. »

Tout retard dans la chaîne peut engendrer des coûts imprévus et compromettre vos délais de livraison. D’où l’importance d’un bon suivi, en amont et en aval.

Autre conseil : ne négligez pas l’achat local. Parfois plus coûteux ou de qualité moindre, il permet néanmoins un gain de temps significatif et une meilleure réactivité face à vos clients.

« L’achat local, même imparfait, peut sauver une affaire en respectant les délais du client. »

Enfin, un point essentiel : ne vous lancez pas sur une opération d’envergure sans avoir testé le processus. Faites des importations d’essai, sur de petites quantités et des montants modestes, pour valider le fonctionnement de votre chaîne : fournisseur, banque, transitaire, douane.

« Faites une opération d’essai, validez vos partenaires, testez votre organisation avant de viser plus grand. »

C’est l’expérience qui vous permettra de faire les bons choix, d’adapter vos procédures et de construire un réseau de partenaires fiables.

Témoignage personnel

Quand j’ai commencé mon premier projet en Algérie en 2014, j’ai dû faire des choix stratégiques concernant mes besoins d’équipement et de matière première.

« Pour l’équipement, j’ai acheté localement. C’était disponible, simple, avec des garanties liées à l’achat local. »

À l’époque, il y avait moins de restrictions qu’aujourd’hui. J’ai pu acquérir un véhicule, des outillages, du matériel informatique, sans trop de formalités. Je n’avais pas fait d’étude de prix, mais l’accessibilité a été un critère déterminant.

En revanche, pour toute la matière première, à savoir les composants d’ascenseur, j’ai choisi d’importer depuis l’Europe. J’ai dû apprendre les procédures spécifiques à mon domaine. J’ai fait des erreurs, notamment en travaillant avec un transitaire peu réactif, qui traitait mon dossier en dernier.

« Avec le temps, j’ai testé plusieurs transitaires, jusqu’à trouver ceux qui comprennent mes contraintes et priorisent mes opérations. »

J’ai découvert ensuite qu’il existait une offre locale. Certains confrères proposaient du matériel disponible immédiatement, souvent intégré dans des offres en fourniture et pose. Cela s’est révélé très utile pour faire face à des urgences ou à des limites de trésorerie.

« Le local devient parfois une solution pragmatique, surtout quand les délais ou la trésorerie l’exigent. »

Aujourd’hui, je complète mes importations par des achats locaux, mais j’ai aussi choisi d’investir dans la fabrication locale, pour des raisons de coût, de disponibilité et de contribution au tissu industriel algérien.

Mon business model a évolué, au fil du temps, au fil des besoins des clients, de la trésorerie, des opportunités et des contraintes réglementaires. Ce que je pensais être un modèle figé s’est avéré être un parcours évolutif.

« Le business model n’est pas une promesse gravée dans le marbre. C’est une trajectoire qui évolue avec l’expérience. »

J’ai vu des confrères contraints de se réinventer, faute d’autorisation pour importer certains produits. Certains se sont tournés vers la production, d’autres ont changé totalement d’activité.

Importer, c’est garder la maîtrise de son approvisionnement, mais c’est aussi s’exposer à des contraintes. Acheter localement, c’est parfois gagner en agilité, mais perdre en contrôle. Il faut trouver l’équilibre.

« L’idéal, c’est de garder la main, en combinant intelligemment importation et sourcing local. »

Ikosim : un accompagnement concret à l’importation et à la création d’entreprise

Chez Ikosim, nous accompagnons les porteurs de projet dès la création de leur entreprise. Nous les aidons à confirmer que les codes d’activité choisis correspondent bien à leurs besoins actuels et futurs.

« Mieux vaut prévoir large dès le départ que de bloquer son développement à cause d’un code d’activité manquant. »

Notre expertise combinée à celle de nos associés dans différents secteurs nous permet de conseiller utilement sur les choix stratégiques, les démarches administratives et les procédures spécifiques liées à l’importation ou à l’investissement.

En Algérie, il est fréquent de croire détenir la bonne information, jusqu’au jour où l’expérience d’un autre opérateur économique démontre l’inverse. Ce que l’administration affirme un jour peut évoluer lorsqu’elle est confrontée à des précédents, à des textes précis, ou tout simplement à une meilleure préparation.

« L’expérience partagée vaut parfois bien plus qu’une directive administrative. »

Chaque domaine est spécifique, chaque opération d’importation peut comporter ses particularités. L’accompagnement chez Ikosim, c’est aussi la mise en relation avec un réseau de prestataires de confiance, de fournisseurs qualifiés, et le partage de bonnes pratiques pour éviter les complications inutiles.

« Être bien entouré permet d’aller vite, mais surtout de ne pas faire fausse route. »

Ce réseau et cette dynamique de partage vous permettent de gagner du temps, d’éviter les erreurs coûteuses, et surtout d’évoluer dans un cadre propice à la réussite.

Conclusion

L’importation en Algérie est à la fois une opportunité et un défi. Elle demande rigueur, préparation et capacité d’adaptation. Chaque décision — importer ou acheter localement, choisir ses codes d’activité, collaborer avec les bons partenaires — doit être guidée par une vision claire et des conseils avisés.

Les règles peuvent évoluer, les procédures aussi, mais l’expérience du terrain reste une boussole précieuse. C’est en partageant, en s’informant et en se remettant en question que l’on construit des projets solides et durables.

« En Algérie, entreprendre et importer demandent plus que des documents. Ils demandent de la stratégie, de la patience, et surtout, de ne jamais avancer seul. »

C’est aussi cela que nous offrons chez Ikosim : un cadre, un accompagnement, un réseau. Pour que chaque entrepreneur puisse avancer en confiance, avec les bons outils et les bons partenaires.

Yacine Moussadek Kaidi Co-fondateur IKOSIM TECH HUB
Suivez-moi sur LinkedIn

WhatsApp
Shopping cart close